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Calvitie chez l’homme

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La calvitie masculine s’avère parfois précoce, avec des prémisses dès 25 ans et des formes avancées dès la quarantaine. Sa cause la plus fréquente reste l’alopécie androgénétique, mais ce n’est pas la seule : c’est pourquoi traiter une calvitie demande une prise en charge précoce, ce que proposent les experts de The Clinic Bruxelles.

Calvitie chez l’homme : définition

La calvitie masculine désigne une absence totale ou partielle de cheveux sur le cuir chevelu, résultant d’une chute suite à une perte de cheveux (alopécie).
Chez l’homme, l’alopécie androgénétique reste la plus fréquente avec une atteinte préférentielle des lobes frontaux (calvitie des golfes), avant de gagner le sommet du crâne (calvitie du vertex).
La couronne hippocratique entre les tempes reste généralement préservée, car le cheveu est plus résistant : c’est la zone donneuse de choix pour une greffe capillaire.

Calvitie masculine : les mécanismes de la perte de cheveux chez l’homme

Comme tout poil, le cheveu suit un cycle de développement, en 3 phases pour une durée totale de 2 à 3 ans :

  • Une phase de croissance anagène où le cheveu pousse ;
  • Une phase d’involution dite catagène, où le cheveu se détache de la racine folliculaire avant la chute ;
  • Une phase de repos dite télogène, où l’absence de pousse du cheveu est physiologique.
Chaque cheveu est programmé génétiquement pour vivre 25 cycles avant de mourir définitivement.

 

Cause principale de la calvitie chez l’homme : l’alopécie androgénétique

L’alopécie androgénétique résulte d’une sensibilité du follicule pileux à un métabolite de la testostérone, la 5-di-hydro testostérone (5 DHT).Sa synthèse est due à une enzyme spécifique, la 5 réductase.

Lorsque le patient est sensible à l’action de la 5-DHT, le cycle capillaire est boosté et donc plus rapide : il s’ensuit que le capital-cheveux (environ 25 cycles sur une vie) est atteint plus rapidement, aboutissant à la mort anticipée du cheveu.Cette mort est irréversible, le cheveu ne peut plus repousser : l’alopécie est définitive.

 

Causes secondaires de la calvitie masculine : les causes acquises

D’autres causes peuvent aboutir à une alopécie, donnant des signes de calvitie souvent réversibles :

  • Troubles trophiques du cuir chevelu, type dermite séborrhéique ;
  • Lésions type alopécie cicatricielle ou irritation par des produits pour cheveux trop agressifs ;
  • Troubles métaboliques, comme une chimiothérapie ;
  • Troubles carentiels, comme des carences en acides aminés soufrés ou une alimentation déséquilibrée (carence en zinc, cuivre, biotine, pyridoxine…) ;
  • Troubles psychiques comme le stress ou l’effluvium télogène.

Calvitie chez l’homme : comment reconnaître les symptômes ?

Face à une calvitie débutante, le défi clinique est double :

  • S’agit-il d’une chute de cheveux physiologique, la perte de cheveux normale chez l’homme se situant entre 50 et 100 par jour ?
  • Cette alopécie présente-elle des causes réversibles ou irréversibles ?
C’est là où l’expertise des experts cheveux de The Clinic Bruxelles apporte une vraie plus-value pour un diagnostic précoce.

 

Diagnostic d’une calvitie chez l’homme : signes cliniques

Les symptômes d’une calvitie sont aisés à reconnaître : le praticien va la quantifier, à travers l’échelle de Norwood-Hamilton (7 stades de calvitie).

Un examen clinique doit vérifier l’état du cuir chevelu, et l’aspect physique du cheveu : résistance à la traction, épaisseur, densité… L’examen est toujours associé à un recueil des commémoratifs, pour évaluer notamment les antécédents familiaux d’alopécie androgénétique.

 

Diagnostic d’une calvitie masculine : examens complémentaires

Pour comprendre les causes d’une calvitie, un expert en cheveux peut s’appuyer sur différents examens comme une prise de sang, un bilan hormonal, des dosages d’oligo-éléments….

Quatre portent plus particulièrement sur le cheveu :

  • L’examen trichoscopique par vidéodermoscopie, avec prise de photos sur différentes zones du cuir chevelu : le comptage numérique permet d’apprécier la densité capillaire au cm², le % de cheveux jeunes, l’épaisseur des cheveux, le nombre de cheveux par follicules pileux…·      
  • L’examen par trichogramme au microscope aide à apprécier leur vitalité et  de quantifier le ratio des cheveux en phase anagène ou télogène ;·      
  • Le TrichoTest est un test ADN consistant à prélever un peu d’ADN sur la muqueuse buccale avec un écouvillon : cet examen permet de voir s’il existe une prédisposition génétique pour produire plus de 5-DHT ;
  • La biopsie du cuir chevelu, plus rare, s’envisage dans les cas plus complexes, sous anesthésie locale.

The Clinic - Traitement de la perte de cheveux à Bruxelles

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